Quel type d’investisseur durable êtes-vous ?

L’électrification de notre économie est votre priorité absolue ! Saviez-vous qu’en 2022, les émissions de gaz à effet de serre liées aux énergies fossiles ont atteint un nouveau record historique de 36,8 milliards de tonnes équivalent CO₂? Oui, ça fait beaucoup : c’est l’équivalent de 169 000 milliards de kilomètres en voiture ! Soit 439 millions de fois la distance Terre-Lune.

Pour remplir les objectifs de l’Accord de Paris visant à limiter le réchauffement mondial à 1,5°C, les émissions nettes de CO₂ doivent être nulles d’ici 2050. Cette tâche colossale constitue la composante la plus importante dans la création d’une économie durable, toutes entreprises et secteurs confondus. Et cette transition est déjà lancée avec l’électrification de notre système énergétique : en 2017, à l’échelle mondiale, 1 véhicule vendu sur 80 était électrique. Aujourd’hui, c’est 1 sur 6 et nous devrions atteindre 2 sur 3 d’ici  2030.

Ceci constitue un terrain extrêmement fertile pour les investisseurs et nous sommes convaincus que les sociétés les plus prospères sont celles qui sont en passe de créer une économie à bilan carbone neutre.

Vous comprenez que la Révolution de la Durabilité est en marche ! Vous savez qu’il faut repenser notre relation toxique au plastique et vous avez déjà adopté les bons gestes.

Saviez-vous qu’à l’échelle mondiale, nous produisons plus de 430 millions de tonnes de plastique par an, un volume équivalent à celui de la population humaine mondiale ? Pire : ce volume devrait tripler d’ici 2060 si nous n’agissons pas aujourd’hui.

Chez Lombard Odier, nous sommes convaincus que la transition vers un système circulaire du plastique est en route. Nous pensons que les investisseurs ont un rôle clé à jouer pour promouvoir le changement nécessaire pour réduire les déchets plastiques et les émissions de gaz à effets de serre (GES). Alors que les gagnants de la transition émergent et que des solutions sont développées puis commercialisées, les investisseurs découvriront également des opportunités uniques de rendements. Nous estimons que les opportunités d’investissement dans les plastiques circulaires représentent USD 1 200 milliards.

Votre motivation, c’est la protection et la préservation de la nature ! Saviez-vous que la nature réalise à elle seule la capture d’environ 16 milliards de tonnes de CO₂ ? C’est l’équivalent du volume des émissions actuelles du continent asiatique ! Notre capital naturel est notre plus bien le plus précieux.

Nous pensons que la nature est à l’heure actuelle la classe d'actifs la plus sous-évaluée au monde et que la demande des entreprises en matières premières régénératrices – celles produites en harmonie avec la nature – sera à l'origine de la plus grande revalorisation du siècle à venir. Les investisseurs auront ainsi la possibilité d'obtenir des rendements à long terme et de minimiser le risque climatique au sein de leurs portefeuilles, tout en favorisant la transition vers une économie respectueuse de la nature.

Notre plateforme d’investissement holistiQ cible uniquement les investissements durables qui nous aideront à poursuivre notre transition vers une économie « net-zéro » respectueuse de la nature. Il est essentiel d’accorder une plus grande valeur économique à la nature en misant sur sa capacité productive et régénératrice et en favorisant la bioéconomie circulaire.

« Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre ». Vous avez fait vôtres ces propos de François Mauriac en étant un farouche protecteur de la Terre ! Vous souhaitez défendre notre planète au quotidien et dans vos décisions d’investissement. Saviez-vous que les voitures restent stationnées approximativement 92% du temps et que les espaces de bureau sont vides 50 à 65% du temps ? Pour enrayer ce cercle vicieux, il est nécessaire de passer à une économie CLIC® (« Circular, Lean, Inclusive, Clean » : circulaire, efficient, inclusif et propre).

Chez Lombard Odier, notre stratégie d’investissement plébiscite les fournisseurs de solutions permettant de réduire les émissions de carbone, mais aussi les entreprises opérant dans des secteurs à forte intensité de carbone, mais économiquement indispensables, qui veulent franchir le pas.